11. Master and Commander : De l’autre côté du monde
Master and Commander : De l’autre côté du monde ne respecte pas nos critères à cause de l’exactitude historique de son intrigue, parce que c’est un sujet de débat. Master and Commander respecte plutôt nos critères en raison du coût de production. Le réalisateur Peter Weir montre qu’il a un excellent sens du détail. Les navires, les costumes et les sons sont tirés directement de la série de romans Aubrey-Maturin de Patrick O’Brian, vous faisant croire que tout ce qui se passe sur le plateau date vraiment des années 1800.